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ENFANTS COBAYES

Cancer de l'enfant :
enquête sur les dérives d'un système
 
 

U.F.A.L.
(Union des Familles Laïques)



Lire la lettre d'information Janvier 2003

Paris, le 4 novembre 2002

Note de synthèse
sur le traitement des enfants cancéreux

Cette note a pour objet de présenter succinctement les problèmes rencontrés par les familles des enfants atteints d’un cancer à tumeurs solides*..

Les conditions de traitement des enfants atteints de cancers à tumeur solides*, c’est à dire non hématologiques, type leucémie, ne répond ni aux exigences de la loi en matière de consentement éclairé, ni au respect le plus élémentaire de la déontologie médicale. En outre, des mandarins phagocytent le système et les ressources découlant de la médiatisation des enfants atteints,  en organisant leur prise en charge en réseau sous l ‘égide d’une société savante – la SFOP - qu’ils contrôlent.  Dès lors, ils ne peuvent tolérer que des praticiens, experts dans leur spécialité, offre une alternative thérapeutique en individualisant les traitements en fonction des besoins des patients. Cette situation a d’ailleurs été abondamment et minutieusement présentée dans un livre d’investigation intitulé « enfants cobayes » rédigé par deux journalistes, Pierre Lacombe et Loïc Dufour paru cette année aux éditions Michalon.

* dont les tumeurs touchent des tissus osseux, mous, le cerveau et le système nerveux .

I/La situation des enfants atteints de cancers dits solides

1.1Contexte

Il est à noter que ce type de cancer touche finalement et heureusement que peu d’enfants chaque année. De l’ordre de 1200 cas. Ils n’intéressent donc que faiblement le monde médical et celui de la recherche, sauf pour leur versant éminemment médiatique. En outre, leur rareté (1200 cas/an souffrant de plusieurs dizaines de diagnostics différents, le plus courant – ostéosarcome – comptant moins de 50 nouveaux cas/an  à rapprocher des 250000 cas d’adultes) fait qu’un praticien hospitalier n’est mis qu’exceptionnellement en contact avec de tels malades , d’où une absence d’expérience de leur part,  quant à la manière d’appliquer les traitements à mettre en œuvre même et surtout si ceux ci sont standardisés.    

1.2 Fonctionnement actuel

Malgré leur petit nombre et la grande variété des diagnostics, les cancers d’enfants ne sont pas considérés ni pris en charge comme des maladies orphelines, au contraire ils sont intégrés dans une modèle centralisateur contrôlé par les mêmes organismes qui mobilisent l’essentiel des ressources de recherche pour les cancers d’adulte et pour lequel «  tant qu’on aura pas 100% de guérison il faudra considérer chaque enfant comme un cas de recherche ».  extrait de la brochure du GFECLE** mars 2001.

Selon le cas l’enfant sera pris en charge comme suit :

1.2.1 Des protocoles standards pour les cas ne faisant l’objet de recherches

Tout enfant pour lequel un cancer à tumeur solide est diagnostiqué – par biopsie et anatomopathologie - en France est dirigé localement vers un des 35 services s’occupant de cancers d’enfants.

La reconnaissance de cette compétence est assujettie à l’application des Protocoles Standards définis et recommandés par la SFOP (Société française d’Oncologie Pédiatrique, société savante qui est la caution scientifique de l’IGR dont elle est l’émanation).

De fait, 34 des 35 centres – i.e : tous les services en France sauf l’Unité Delepine à Avicenne - appliquent ces protocoles.

Ce qui n’est pas sans poser un grave problème de qualité des thérapies car 31 centres (si l’on retire les centres très spécialisés que sont l’IGR, Curie, Lyon Bérard, La Timone et l’Unité Delépine) se partagent sans doute moins de 800 cas par an, les médecins y sont notablement sous-expérimentés, du simple fait qu’ils ne rencontreront une pathologie courante ( 10 à 12 cas par an en France) qu’une fois tous les 2 à 3 ans et certains diagnostics rares qu’une fois dans leur vie professionnelle.

Or les enfants sont traités par chimiothérapie – par injection de poisons violents qui visent à nécroser les tumeurs, aussi difficiles à mettre en œuvre que le geste du  chirurgien qui vise à les éradiquer avec ses scalpels et bistouris –

S’agissant de détruire les cellules cancéreuses et pas les cellules saines, tel produit injecté à trop faible dose ou avec retard perdra une grande partie de son impact et donnera des effets indésirables contraires. Comme des actes chirurgicaux complexes mettant en jeu le pronostic vital, nécessitent une expérience et une expertise particulières, les chimiothérapies devraient n’être pratiquées que par des médecins  expérimentés.

Comme tel n’est pas le cas, parce que l’on souhaite garder une organisation pyramidale et pseudo décentralisée, les protocoles SFOP – issus de la recherche pratiquée sous son égide - ont été notablement banalisés pour pouvoir être appliqués par des équipes peu ou pas expérimentées et éviter les accidents de chimio.

Par le simple fait d’appliquer en toute bonne foie un protocole standard de la SFOP le médecin obère les chances de rémission de l’enfant, par contre il satisfait à son obligation de moyen tout en s’exonérant de la responsabilité thérapeutique et de la très difficile mission de suivre les patients 24 heures sur 24, ce qui est le lot du praticien clinique.

1.2.2 Le rabattage des cas éligibles à la recherche dans le cadre des ETR

Chaque cas diagnostiqué entrant dans l’éligibilité à un Essai Thérapeutique dans le cadre d’un programme de Recherche visé par la SFOP est présenté à l’Institut Gustave Roussy (IGR) qui pilote ces essais multi-centriques.

Cette procédure est obligatoire pour les centres SFOP ainsi qu’en a témoigné le Pr Sommelet devant la commission du Sénat –29/05/2001 : « La recherche clinique est réelle sur le plan national. Elle est multicentrique. Les centres doivent s'engager à enregistrer leurs patients dans les essais thérapeutiques La recherche est intégrée aux soins quotidiens. Ainsi, 90 % au moins des malades atteints de leucémie et 70 % au moins des malades atteints de tumeurs solides sont enregistrés dans les essais thérapeutiques. En effet, il n'existe pas d'essai thérapeutique pour tous les sous-types. Par contre, moins de 5 % sont enregistrés dans les essais thérapeutiques en oncologie adulte . Les essais et études sont nombreux, avec peu de malades. Ainsi, il existe actuellement 34 études et essais couvrant les leucémies et les tumeurs solides de l'enfant.  » 

Nombre de ces enfants sont ainsi inclus dans des Essais Thérapeutiques Randomisés (ETR) c’est à dire que dont le protocole sera attribué par tirage au sort.

A Gustave Roussy les dossiers sont instruits par des « chercheurs » qui, sans jamais voir le patient, déterminent le protocole à suivre, calibré selon l’âge la taille et le poids de l’enfant. Ce traitement qu’il devient « impératif » d’appliquer jusqu’au bout (celui du protocole ou celui du malade dans les deux cas on obtient des données bio-statistiques) est envoyé au centre afin d’être appliqué par un médecin qui n’a alors plus qu’à administrer le traitement qui a été prescrit à distance. N’étant que très exceptionnellement confronté à de tels cas, le médecin hospitalier n’a pas l’expérience lui permettant d’intervenir de façon critique dans la prescription. Par ailleurs, il bénéficie d’une caution médicale hégémonique, celle de l’équipe de l’Institut Gustave Roussy, qui est la seule à délivrer diplôme universitaire dans ce domaine, et donc qui est déterminante dans leur carrière pour des médecins qui exercent dans une spécialité qui ne peut être accueillie que dans le milieu hospitalier.   

Il est constant, comme le démontrent des études menées entre autre aux USA, que l’inclusion de patients dans des essais multi-centriques obèrent les chances de guérison de 20 à 30 %.

1.3 Cette situation viole la loi Huriet

Les parents ne se voient offrir aucun choix, et sous la pression résultant de l’annonce que leur enfant est atteint dut Cancer  se trouvent dans la quasi-obligation de signer l’acte d’inclusion de leur enfant dans ce système, (consentement éclairé) et d’autant qu’aucune alternative ne leur est proposée. Il est constant que des parents concernés témoignent du chantage dont ils ont été victimes de la part des tenants de ce système : le refus de signer ou la demande d’explication recevant en réponse une menace de refus de tout traitement. Le député Hage a à ce propos, posé une question orale à l’assemblée en juin 2001, et des parents ont déposé des plaintes auprès du parquet de Paris qui a décidé de les instruire. 

1.4 Cette situation est contraire à la déontologie médicale la plus élémentaire

Ni les protocoles sous-tendant ces essais thérapeutiques, imposés aux enfants et à leurs parents, ni les résultats obtenus n’ont à ce jour jamais été publiés. C’est donc dans une approche déshumanisée, n’offrant pas aux enfants une certitude d’administration des produits selon une posologie adaptée à leur situation personnelle que sont fait ces essais, autrement dit, en les privant, souvent, d’une chance de rémission auxquels des traitements individualisés les auraient conduits. La question de la recherche médicale, qui sert de caution à ce système, doit être posée de telle sorte qu’elle ne menace pas la vie des patients. D’ailleurs, la pratique de l’étude médicale visant à considérer de manière critique et transparente les résultats obtenus, après administration par un médecin doté de l’expérience et des compétences suffisantes, de traitements qui offrent la plus grande chance de survie au malade est la seule qui soit conforme à la déontologie médicale, et qui tourne le dos à ces essais standardisés, dont l’histoire nous a enseigné à quelles horreurs elles pouvaient donner lieu.

2/ Une équipe médicale refuse ce système en individualisant les traitements

L’unité d’oncologie pédiatrique de l’hôpital d’Avicenne à Bobigny en Seine saint Denis est le seul service de cancérologie pédiatrique de France qui individualise les traitements aux petits patients qui lui sont confiés. Cette unité, la qualification de service lui a été refusée, est dirigée par le Docteur Delépine.

2.1 Une Unité qui individualise les traitements et qui obtient des résultats supérieurs au système officiel

La mobilisation des familles des enfants en traitement dans cette unité prouve l’attachement à l’équipe médicale qui la compose et qui a toujours mis au centre de ses préoccupations la santé des enfants dont elle a la charge. Ce succès s’explique. En effet, les travaux de cette équipe médicale ont donné lieu à de nombreuses  publications qui ont conduit à une reconnaissance internationale. Il ressort, par ailleurs de ces résultats que les taux de rémission obtenus, en les comparant par recoupement et hypothèses à ceux du système officiel qui n’individualise pas les traitements, lui seraient de 25 à 35% supérieurs.

De nombreux parents ont également témoigné, que le Docteur Delépine avait sauvé leur enfant déclaré perdu par le système officiel. Certains de ces témoignages ont d’ailleurs conduit le 25 octobre dernier, le tribunal de Paris auprès duquel le Dr Delépine avait porté plainte contre M Tursz, Directeur de l’institut Gustave Roussi, a condamné ce dernier pour diffamation.

2.2 Une équipe qui est menacée parce qu’elle dérange.

Cette unité est la seule, en France, qui n’applique pas mécaniquement les protocoles médicaux qui sont édictés par l’Institut Gustave Roussy, qui, sous prétexte de recherche thérapeutique, inclut des enfants dans des essais dont la finalité a été dévoyée au profit d’une caste médicale qui s’arroge autorité scientifique, pouvoir d’excommunier et collationne les aides caritatives. Ceci n’empêchant pas de collecter aussi l’argent de la Sécurité Sociale laquelle paye indifféremment les traitements d’essais comme les soins cliniques individualisés.

Dans ce cadre, l’individualisation des traitements, dérange le système officiel, il faut donc éliminer toute opportunité démontrant qu’on peut faire mieux que celui-ci. Cette situation n’est pas sans rappeler l’Affaire du sang contaminé ou le scandale de l’ARC.

C’est en effet, toute la survie du droit des enfants à bénéficier de soins s’inscrivant dans le cadre d’une alternative thérapeutique qui est posé. Il n’est évidemment pas question pour l’Union des Familles Laïques de refuser les nécessaires études thérapeutiques, mais il convient d’une part que soit respecté le droit absolu des parents de refuser que leurs enfants soient captés, de manière quasi obligatoire, par un système qui combat toute intervention individualisée, et d’autre part que les protocoles de ces essais, ainsi que leurs résultats, soient audités par des organismes indépendants.

En effet, la concurrence, au demeurant souhaitable, que fait ce service au système officiel, démontre qu’il est possible de traiter des enfants réputés perdus. Aux yeux du système officiel, c’est donc la menace de voir lui échapper un monopole qui lui procure pouvoir hospitalier, et avantages financiers co-latéraux, qui légitime les attaques incessantes dont l’unité d’oncologie pédiatrique de l’hôpital d’Avicenne est l’objet, au point d’être sous la menace imminente d’une fermeture. En effet, l’APHP, dont dépend cette Unité est un allié objectif et particulièrement virulent du système officiel. D’une cinquantaine de lits à l’Hôpital Hérold, avec le Pr Mathé à sa tête,     puis avec une quinzaine de lits à Robert Debré en 1988 pour se réduire à 7 lits aujourd’hui, qui sont menacés de fermeture.

3/ Les enjeux

3.1 Des enjeux généraux sur les valeurs

Cette affaire pose deux problèmes :

Tout d’abord qui doit être au centre de l’acte de soins : les patients ou le pouvoir d’une caste hospitalière et l’argent ?

 

Pour l’UFAL, la réponse est sans appel : Nous savons que la santé n’est pas une marchandise, et médecine et argent privé font rarement bon ménage. Là encore ARC et sang contaminé illustrent les dangers d’une « mercantilisation » et d’une absence de contrôle des pratiques thérapeutiques. Nous avons donc résolument choisi d’être aux côtés des patients pour lesquels nous défendons les droits à l’égalité d’accès à des soins de qualité, c’est à dire qui leur sont adaptés.

Fort de cette réponse, nous somme aux côtés de l’équipe médicale de l’unité d’oncologie pédiatrique de l’hôpital d’Avicenne à Bobigny qui lutte pour restée ouverte et pour la survie des enfants qu’elle a recueillis, souvent d’ailleurs, après qu’ils aient été rejetés, parce que considérés comme condamnés, par le système officiel.

 

Deuxièmement, il se pose un problème de démocratie

    

Le président de la République, et avec lui, le gouvernement, se sont engagés, devant la nation, à tout faire pour combattre le cancer. Or, ce « Plan Cancer » est inauguré, dans les faits, par la fermeture de la seule unité de cancérologique pédiatrique de France qui individualise les traitements, et qui est la seule à publier ses résultats de rémission dont on sait qu’ils sont sensiblement supérieurs à ceux du système officiel qui garde ses résultats secrets. Depuis quand ce sont des Directeurs d’hôpitaux, qui décident, contre l’avis d’un ministre et en contradiction flagrante avec les engagements de la représentation démocratique, de la fermeture d’un service. Les promesses n’engagent que ceux qui les reçoivent, dit-on trop souvent. Les enfants en attente de traitements qui leur sont adaptés, et que le système médical officiel avait souvent condamnés, ont cru à ces promesses.

3.2 Un cas dramatique qui illustre la barbarie de cette situation

Par ailleurs, cette bataille pour la sauvegarde de cette unité de soin a « une sorte » de figure emblématique. Il s’agit de  la petite Orlane, originaire de la région de Nantes, bientôt 3 ans, dont la seule chance de survie est de bénéficier de traitements individualisés. Pourtant, le directeur de cet hôpital, avec le soutien actif de sa hiérarchie, c’est à dire le Directeur de l’APHP, refuse cette hospitalisation.

4/ Ce qui a déjà été fait

4.1 Le combat des parents

Les parents des enfants hospitalisés dans cette unité se sont regroupés dans une association : AMETIST. Face aux très sérieuses menaces de fermetures, qui ont redoublé cet été, une intense campagne médiatique s’est engagée. Une conférence de presse s’est tenue à Bobigny le 21 octobre au matin avec le député maire de Drancy, M Lagarde, des élus locaux, la section syndicale Force Ouvrière de l’Hôpital, et des associations. L’UFAL y était représentée. Depuis, la presse écrite, Le parisien, Le Monde, mais aussi radiophonique, notamment RMC et RTL se sont fait l’écho des défenseurs de cette unité. Des reportages sont passés sur FR3, d’autres émissions de télévision sont en préparation. Le ministre de la santé a été saisi. Cela n’a rien changé, alors même que ses services, s’étaient engagés à maintenir cette unité.

 

4.2 La présence de l’UFAL nationale

L’UFAL a sur cette question a

- écrit au directeur de l’Hôpital M Bilis, le 9 septembre, réponse datée du 10 septembre

-  participé à une délégation au ministère de la santé avec le parlementaire Lagarde, et d’autres élus le 16 septembre

-   écrit au cabinet du ministre de la santé le 19 septembre pas de réponse

-   écrit à Delanoë, président de l’APHP le 3 octobre

-  écrit à Durrleman, Directeur Général de l’APHP, réponse en date du 18        octobre

-  rencontré le Directeur de Cabinet e M Lhostie représentant de Delanoë, président de l’APHP.

-  Participé à la conférence de presse du 21 octobre

-  Est intervenu au cours d’une émission sur RMC le 22 octobre au matin

-  Ecrit au cabinet du secrétaire d’Etat en charge de la petite enfance, Ch Jacob

 

4.3 La présence de l’UFAL locale

 

Par ailleurs, et de façon complémentaire, , l’UFAL de Nantes, depuis plusieurs semaines a engagé une mobilisation pour que cette enfant soit admise dans ce service de l’hôpital Avicenne et soit soignée par les médecins que lui ont choisis ses parents. Plus de 3500 signatures ont été recueillies, la presse locale, -Presse Océan, Ouest France- s’est faite l’écho de cette mobilisation.

5/ Faire vivre l’espoir, faire espérer la vie

C’est donc pour que ces enfants et leurs parents continuent de se voir offrir une chance de survie que  l’unité d’oncologie pédiatrique de l’hôpital d’Avicenne à Bobigny en Seine saint Denis doit rester ouverte, et doit être dotée des moyens nécessaires à son fonctionnement. C’est par respect pour la vie d’une enfant de 3 ans, que la petite Orlane doit y être admise immédiatement.

Hervé COLAS

Responsable du secteur santé

Union des Familles Laïques